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17.02.2025 → 07.03.2025

Asmik Grigorian, une Norma puissante et singulière au Theater an der Wien

par Paul Fourier
03.03.2025

Des prises de rôles importantes ont fait de la Norma viennoise un évènement incontournable. Si le talent des interprètes a donné une coloration inédite au drame bellinien, la direction orchestrale et la mise en scène, brutalisant parfois la musique et le livret, se sont avérées moins convaincantes.

Inauguré la première fois sur la scène de la Scala de Milan le 26 décembre 1831, Norma fut un opéra d’abord sanctionné par un échec immédiat pour être ensuite considéré comme un sommet du bel canto et, finalement, devenir un opéra mythique qui a attiré les plus grandes sopranos. Bien qu’elle ait rassemblé sur scène Giuditta Pasta, Giulia Grisi et Domenico Donzelli, les déconvenues de la première représentation furent probablement dues au manque d’assurance de la soprano dans le « Casta Diva » (qui fut pourtant réécrit huit fois et baissé d’un ton pour elle, le soir de la première), du dilettantisme du ténor, d’un public déconcerté par l’œuvre… et des intrigues de la maîtresse de Pacini, rival de Bellini.

Quoi qu’il en soit, la quatrième soirée fut un triomphe, renouvelé 35 fois pendant la même saison.

Par la suite, compte tenu de la difficulté du rôle-titre, l’œuvre eut un parcours qui ne pouvait se passer de la présence d’interprètes d’exception. Les plus grandes s‘y sont mesurées – avec plus ou moins de pertinence -, de Maria Malibran, Jenny Lind, Gina Cigna, à Lilli Lehmann et Rosa Ponselle.

C’est bien sûr, Maria Callas qui, en se saisissant du rôle, en 1948, pour le garder à son répertoire durant 17 années, donna, de manière à ce jour définitive, la plus extraordinaire Norma, celle qui alliait une voix de bronze surnaturelle à un tempérament de feu. La suprématie stylistique et dramatique de la Divine n’empêcha pourtant pas d’autres très grandes Norma d’émerger, telle que Joan Sutherland, Montserrat Caballé, Leyla Gencer ou Renata Scotto. Ces dernières années, Sondra Radvanovsky, Sonya Yoncheva, Marina Rebeka, Anna Pirozzi ou Karine Deshayes ont repris le rôle avec panache.

Asmik !

C’est donc, forcément avec une certaine curiosité, que l‘on attendait l’arrivée d’Asmik Grigorian dans le rôle. Véritable « caméléon » dans ses prises de rôles, la soprano a déjà osé interpréter Salomé, Rusalka, Marie de Wozzeck, Tatjana, Manon Lescaut, Turandot et la Lady Macbeth de Verdi. Dans une logique de prise de risque maximum qui semble être sa qualité première, elle a décidé, cette fois, d’affronter l’un des rôles belcantistes les plus difficiles.

La voix de la Grigorian est unique ; et c’est ce qui lui permet d’apporter des nuances inédites à ce nouveau personnage.

Si le « Casta Diva » et le « Ah ! bello a me ritorna » sont crânement affrontés mais avec une voix pas toujours ni très stable ni très juste, notamment dans les aigus forte, c’est, par la suite, débarrassée de cet éprouvant morceau de bravoure, qu’elle peut abattre ses cartes : une souplesse inaltérée de la voix, une musicalité extrême, des aigus piani, diaphanes et particulièrement beaux, et, de surcroît, une assurance dramatique qui transcende les scènes.

 

Dans celle du premier acte, dans laquelle elle retrouve Adalgise et Pollione, nul ne pourrait dire que ses partenaires déméritent, tant s’en faut. Et pourtant, à ce moment-là, il y a là, sur scène, une incontestable maîtresse du jeu… et celle-ci s’appelle Grigorian. Dans cette scène sidérante, alors que le personnage porté par la soprano exprime une forme de domination sur Adalgise, puis fait preuve d’une violence débridée, nous avons alors le sentiment d’assister à une Norma inédite.

Au début du second acte, alors que Norma hésite à tuer ses enfants, Grigorian prolonge son interprétation par une magnifique exploration de la femme et mère, sachant alléger sa voix, usant de ses aigus sur le fil et de son vibrato, comme outils de lamentation afin de nous émouvoir, et il est alors difficile de rester insensible à ce moment de grâce absolue ; d’autant qu’après la violence affirmée dans la dernière scène de l’acte I, la soprano affiche cette fois, toute la fragilité de la mère suppliante face à Adalgise.

 

Lors de cette représentation, ce qui surprend à tout moment, c’est l’étonnante versatilité de l’artiste à maîtriser toutes les scènes et à porter l’ensemble des facettes de cette héroïne polymorphe qu’est Norma.

Continuant dans sa foulée d’une interprétation magistrale, dans la scène du « In mia man alfin tu sei » (Te voici enfin en mon pouvoir) face à Pollione, elle arbore de multiples couleurs, tantôt un calme séducteur, tantôt l’assurance de la femme puissante d’où jaillissent des jets de menace.

 

Bellini et son librettiste, Romani, ont génialement placé, dans l’histoire, un point de bascule traduit par deux mots « Son io » (« C’est moi »), lorsque Norma, plutôt que de dénoncer sa rivale, avoue sa « culpabilité » et, dès lors, va assumer son destin.

Dès cet « io », ce « moi », délicat et longuement tenu, Grigorian va s’impliquer dans une scène finale d’anthologie, jouant alors de ses aigus filés ou fulgurants, d’abord dans « Qual cor tradisti », puis dans un « Deh ! non volerli vittime » suppliant et sublime à pleurer, dans lequel le monde qui l’entoure semble disparaître et que brille, seule alors au milieu du plateau une interprète d’exception.

Akhmetshina, la belcantiste « chimiquement pure » du plateau

La qualité de la représentation aura tout autant reposé sur les partenaires de Grigorian, chacun apportant sa pierre singulière à l’édifice.

Incontestablement, des trois interprètes, Aigul Akhmetshina a été la plus « chimiquement » belcantiste et a aussi bien « marqué » son Adalgise qu’elle l’avait fait avec l’Elisabetta de Maria Stuarda à Madrid, en décembre dernier.

La voix est chaude et puissante sur toute la tessiture des graves profonds aux aigus bien projetés. Face à Pollione, elle s’annonce soumise dans son simple habit d’ouvrière, puis, tantôt malmenée, tantôt suppliée, elle accompagne Grigorian avec grand style. En étant aussi convaincante en Adalgise qu’elle peut l’être dans un rôle aux antipodes tel que celui de Carmen, elle confirme qu’elle est l’une des plus grandes mezzo-sopranos actuelles.

Un bel canto parfois tiré vers une forme de brutalité

Si l’air d’entrée du Pollione de Freddie De Tommaso est marqué d’une brutalité impressionnante que nous n’avions pas entendue depuis longtemps, il montre déjà là d’indéniables qualités belcantistes, et c’est, surtout, par la suite que le ténor va s’avérer à la hauteur des enjeux. Surtout – et c’était indispensable – comme Akhmetshina, il prouve qu’il est capable de se hisser au niveau de Grigorian dans les scènes clés, d’abord dans le trio final de l’acte I, mais surtout dans les scènes finales de l’opéra.

Ainsi, dans le dialogue avec Norma suivant le « In mia man », le chant se fait sans outrance, le mâle vaincu semblant plier sous les coups de la soprano et de sa rage qui émerge. Et lorsque Norma s’est dénoncée, De Tommaso offre un chant puissant, simplement beau, sans effets superflus, en réponse à la soprano qui déploie alors mille merveilles. On peut gager que, si le ténor parvient à refréner les quelques excès dus à sa voix généreuse, Pollione devrait devenir l’un de ses grands rôles de répertoire.

 

Face à ses trois grands interprètes, il fallait compléter cette distribution composée avec soin, par de beaux seconds rôles.

Ce fut le cas pour Oroveso qui a bénéficié de la très séduisante et puissante voix de l’imposant Tareq Nazmi, ici à contre-emploi, puisque son personnage est continuellement humilié par les soldats. La Clotilde de Victoria Leshkevich et le Flavio de Gustavo Quaresma se sont, eux, avérés parfaitement à la hauteur de leurs illustres partenaires.

Pour les parties chorales requises au début de l’acte I, puis dans une grande partie de la seconde partie de l’acte II, le « Arnold Schoenberg Chor » s’est montré de bonne tenue, quoi que très sonore, probablement en réponse à une forme de brutalité musicale adoptée par le Wiener Symphoniker dirigé par Francesco Lanzillotta. Peut-être s’agissait-il là d’une surexposition de l’orchestre provoquée par la (très belle) rénovation récente de la salle, mais, si la rythmique souvent rapide n’était pas en cause, le Chef aurait dû traiter la partition en conséquence, notamment en maîtrisant mieux les percussions, trop présentes ce soir.

 

La mise en scène de Vasily Barkhatov part d’une idée a priori simple et pertinente… si elle avait pu tenir la longueur. Plutôt que de figurer les Gaulois occupés par les Romains (ou les Italiens occupés par les Autrichiens, ce qui était le cas au moment de la création), Barkhatov nous plonge dans un pays où la dictature est devenue réalité. La communauté, probablement religieuse, qui nous est donnée à voir fabriquait des statues pieuses. Elles seront, finalement, remplacées par des bustes du dirigeant de ce nouveau régime totalitaire.

Si cette idée n’apporte pas forcément une immense plus-value, elle s’accorde avec la situation de ces femmes, Norma et Adalgise, qui s’acoquinent avec l’ennemi de l’intérieur ; comme ces femmes que l’on tondait, à la sortie de l’occupation, parce qu’elles avaient « couché » avec des Allemands (ou des collaborateurs français) ». C’est néanmoins lorsque l’on sort du démonstratif et d’une violence un peu caricaturale et surjouée, et que l’on se retrouve dans l’intimité de Norma qui cache ses enfants, que la proposition devient plus intéressante, d’autant qu’elle est portée par une direction d’acteurs au cordeau et un trio de chanteurs qui s’y plie avec grand talent.

En revanche, Barkhatov ne semble pas avoir su gérer la longueur, et la fin de l’opéra est marquée par la confusion, avec un raccourci raté n’expliquant guère le renversement soudain de situation, la disparition des soldats et la capture de Pollione, puis avec le sauvetage in extremis de Norma. C’est, en revanche, une très belle idée de montrer cette Norma, visiblement pieuse, s’adresser à Dieu plutôt qu’à Oroveso lorsqu’elle demande à « Padre » de sauver ses enfants.

Si la direction et la mise en scène ont donc provoqué un sentiment mitigé qui nous permet d’affirmer que ce n’est pas la plus grande Norma à laquelle il nous ait été donné d’assister, tout porte paradoxalement à croire qu’en raison de la singularité de l’interprétation, il ne fallait pas manquer d’en être *.

 

(*) Avec les limites de ce qu’est une retransmission sur petit écran, ceux qui n’auront pu aller à Vienne peuvent encore visionner la première de la série sur Arte concert.

Visuels : © Monika Rittershaus