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01.03.2025 → 16.03.2025

Sylvain Creuzevault nous conduit avec passion au bout de la nuit dans « L’Esthétique de la résistance » à l’Odéon

par Helene Adam
09.03.2025

Adapter le roman en trois livres, et 900 pages, de Peter Weiss au théâtre était un défi. Avec son style précis et percutant, Sylvain Creuzevault parvient à rendre compte avec talent de ce voyage-itinéraire d’un jeune ouvrier allemand des années 30, devenu écrivain pour témoigner de cette volonté d’organiser inlassablement et courageusement la lutte anti-nazie alors que la bête immonde étend ses tentacules. Magistral et triomphalement accueilli par une salle où se mélangent les générations, le spectacle est de ceux dont l’écho actuel fait frissonner et interroge.

L’art et la lutte de classe

Le récit de Weiss est touffu et compact et ne se laisse certainement pas facilement apprivoiser. Il faut pénétrer dans ces longs paragraphes et attraper le fil conducteur pour le dérouler.

Lors de sa publication entre 1975 et 1981, on a parlé de « l’Iliade du mouvement ouvrier et de la lutte contre le fascisme au XXe siècle », de « livre-monde », pour qualifier cet ouvrage majeur en mémoire de ceux et celles qui ont résisté malgré tous les obstacles, les risques, les peurs, les incompréhensions, le désarroi même, sans jamais lâcher prise.

Et ce qui rend ce roman dantesque et épique unique en son genre est la volonté de Weiss d’entremêler et de confronter le récit des acteurs directs avec l’art et d’analyser le rôle de l’esthétisme dans la faculté de résister.

 

Pour réussir à illustrer d’une manière aussi vivante et impressionnante un tel foisonnement de mots, de situations et d’idées, il fallait au maximum collectiviser le travail des acteurs et c’est ce que Sylvain Creuzevault explique fort bien dans un entretien qu’il a donné en mai 2023 à David Sanson, alors que la pièce a été montée pour la première fois à Strasbourg, puis reprise successivement au printemps des Comédiens à Montpellier, et au festival d’automne de Paris, à la Maison de la Culture de Seine Saint-Denis Bobigny (MC93).

« C’est comme une histoire de l’art du point de vue de la lutte des classes, ou une histoire de la lutte des classes à travers les arts. Durant tout le livre, ces jeunes gens, issus d’un milieu social qui n’a pas accès à ces œuvres détenues par la bourgeoisie, vont essayer de se construire leurs propres outils, leur propre lecture de cette généalogie artistique ».

 

Il a ainsi travaillé par parties de trois quarts d’heure environ, autour de quelques artistes confrontés à une œuvre d’art citée dans le roman, et qui vont « dire » ce qu’ils voient (ou ne voient pas).
Le metteur en scène ajoute : « Mais il est passionnant de travailler sur cette matière avec les actrices et acteurs du Groupe 47 (de l’École du TNS, ndlr), de travailler sur des jeunes gens de 1937 avec des jeunes gens nés au XXIe siècle».

Le théâtre sous toutes ses formes

Le résultat est à la hauteur du gigantisme du roman : 4 heures de représentation avec deux entractes séparant les trois parties / livres qui composent l’ouvrage. Il restitue, comme miraculeusement, l’essentiel des réflexions complexes de cette descente aux enfers, captivant littéralement un auditoire de tous les âges (y compris très jeune), par la fluidité et l’intelligence de son propos.

Pour ce faire, toutes les formes théâtrales sont utilisées ; Sylvain Creuzevault en fait l’inventaire :  « le théâtre de tréteaux, le théâtre agit-prop, le théâtre épique brechtien, le théâtre documentaire (dont Peter Weiss a été l’un des inventeurs), le théâtre-récit ».

On passe sans cesse d’un style à l’autre sans jamais pour autant, perdre le fil du récit et de l’histoire des personnages, le narrateur comme ses amis, rencontrés au cours de son périple de Berlin-1937 à Berlin-1942 en passant par la Bohème, l’Espagne de la guerre civile, le Paris des débuts de la Résistance, la Suède de l’exil avant son ralliement au IIIe Reich.

Sylvain Creuzevault avait déjà retenu l’attention des amateurs de spectacles hors norme, tant concernant le sujet choisi que la forme théâtrale retenue, avec son « Edelweiss / France-Fascisme » qui démontait pièce par pièce le véritable rôle des intellectuels et artistes dans la Collaboration directe et dans le développement du fascisme en France sous l’Occupation.

Et l’on ne peut que s’incliner devant l’incroyable savoir-faire collectif qui permet la réussite totale de ce nouvel essai, tout à la fois historique, philosophique et artistique, incroyablement moderne, qui fait écho à tant de préoccupations actuelles que l’on en reste sonné par autant d’engrenages mortifères qui auraient pu fonctionner différemment si et si…

Pour ne pas oublier leur histoire tragique

Le narrateur est un jeune ouvrier de 20 ans qui parle de l’usine, de ses amis, de ses rêves et de son appartenance au KPD (Parti communiste allemand). Il devient écrivain pour raconter son histoire et celles de ses compagnons, Heilmann, Coppi et tous les autres, dont le périple croise successivement les Brigades internationales en Espagne, l’Orchestre rouge à Paris, les réseaux d’exilés en Suède et le retour à Berlin pour tenter d’inverser le cours de l’histoire et y trouver la mort. Leurs rencontres et leurs actions permettent d’évoquer ce début de siècle en Europe, avec la Révolution russe toute proche, le massacre des spartakistes en Allemagne ou les purges staliniennes contemporaines.

S’approprier l’essence de l’art

Et dès la première scène où ils sont encore si jeunes et si idéalistes, communistes convaincus, soutiens sans faille du premier État Ouvrier, ils se confrontent à une œuvre d’art, le Pergamon au Musée de Berlin, représentant une gigantesque fresque où les dieux terrassent les géants, prétexte à description enflammée et à critique violente du nazisme installé au pouvoir.

Ouvriers en lutte contre l’ordre établi, ils veulent comprendre les œuvres d’art qui paraissent hors de portée et pourtant vont leur devenir si familières et si chargées du sens de leur propre résistance.

Le chemin qu’ils suivent ensemble ou séparément, les conduit à croiser et à commenter dans des textes et dialogues ciselés, de toute beauté, Le massacre des Innocents de Brueghel, le Guernica de Picasso, mais aussi des œuvres de Géricault, de Dürer, de Kafka, de Delacroix, ou les répétitions de la pièce Mère Courage de Brecht et… La divine comédie de Dante. Car leur itinéraire ressemble aux cercles de l’Enfer  qui commence ainsi : « Au milieu du chemin de notre vie, je me retrouvai dans une forêt obscure, dont la route droite était perdue.»

De l’enthousiasme au doute

Leur voyage tient d’abord aux choix de militants internationalistes convaincus de porter la flamme de la révolution et de l’anti-fascisme partout en Europe, avant d’être un exil forcé puis enfin la volonté de s’organiser dans la clandestinité.

Peu à peu ils doutent de la pureté de leurs missions, du sens des ordres venus de Moscou, des intentions réelles de l’URSS de Staline, du rôle du parti. Et le livre de Weiss, comme la pièce de Creuzevault,  s’interroge ouvertement sur les divisions des antifascistes, incapables de s’unir face au danger alors que celui-ci remet en cause notre propre humanité et nous conduit collectivement à la barbarie. La solution finale est évoquée, comme les destructions massives dues aux bombardements avant la froideur terrifiante de l’exécution du groupe par les nazis.

Rire et frémir en même temps

L’émotion est toujours au rendez-vous, quand le tragique succède à la passion entrecoupée de joie de vivre, voire de rires. Et de ce point de vue, Sylvain Creuzevault est passé maître dans l’art de nous asséner des douches écossaises permanentes, nous conduisant de l’amusement (l’incroyable scène de l’énumération des livres dont l’éclectisme a quelque chose de terriblement humain, que Brecht doit entasser pour partir en exil aux USA), à la réflexion inquiète (la confrontation des brigades internationales en Espagne avec l’envoyé de Moscou, le dernier groupe pour Berlin qui ne comprend pas ce qu’est devenu le parti sous Staline), au tragique (la condamnation à mort de Boukharine à Moscou, la défaite militaire de l’Espagne républicaine du Front populaire, et l’exécution des membres du groupe de résistants de l’orchestre rouge à la prison de Plötzensee à Berlin) les deux faces d’un Janus monstrueux auquel nul ne peut vraiment croire sinon il n’y a plus d’espoir.

 

Et du pacte germano-soviétique (1939) à l’opération Barbarossa (invasion de l’URSS par l’Allemagne nazie en juin 1941, avec la pénétration de quatre millions de soldats des forces de l’Axe pour éliminer le communisme), se dessinent aux yeux du groupe de résistants communistes, le pire cauchemar jamais imaginé, celui du triomphe absolu des forces du mal, la Finlande et la Norvège se sont rangées du côté de l’Axe et la Suède s’est inclinée pour laisser passer les troupes. Il n’y a plus de refuge possible en Europe.

 

Nous sommes sans cesse bousculés par tous ces faits rappelés et commentés loin des discours diplomatiques, dogmatiques, hypocrites ; nous nous retrouvons au milieu de la tempête sans faux-fuyants, quand il nous faut nous demander quelle est l’issue du salut de l’humanité. Et la confrontation à l’art malmené par le nazisme, mais aussi par le stalinisme à l’époque, rappelle qu’il y a là, dans l’esthétisme, l’une des quintessences de la résistance.

L’espoir malgré tout, car rien n’est fatal

Et la ronde que forment alors les suppliciés de Berlin annonce le retour de l’espoir, celui de la « résistance qui nait du désespoir ». Et si le spectacle commence par l’Appel du Kommintern (en allemand), il s’achève par le chant des morts et de la fraternité retrouvée.

 

L’investissement des jeunes acteurs du Groupe 47 de l’École du Théâtre national de Strasbourg (TNS) et des membres de la compagnie est impressionnant. Ils sont tous brillants et inventifs dans l’incarnation de personnages dont l’authenticité est particulièrement bien rendue, avec leurs faiblesses, leurs doutes, leurs moments déjantés de folie, de joie, de tristesse, leurs colères, leurs déceptions, leur courage enfin devant la mort.

 

On les nommera tous et toutes pour être sûr de n’en oublier aucun : Juliette Bialek, Yanis Bouferrache, Gabriel Dahmani, Valérie Dréville, Vladislav Galard, Pierre-Félix Gravière, Arthur Igual, Charlotte Issaly, Simon Kretchkoff, Frédéric Noaille, Vincent Pacaud, Naïsha Randrianasolo, Lucie Rouxel, Thomas Stachorsky, Manon Xardel, avec une mention spéciale à l’extraordinaire Charlotte Issaly, tour à tour anarchiste résolue et actrice de cabaret expressionniste, littéralement éblouissante.

Allez-y, le sujet n’a jamais été autant d’actualité.

L’Esthétique de la résistance, d’après le roman de Peter Weiss ; adaptation et mise en scène Sylvain Creuzevault.

durée 4h (deux entractes compris)
1h05 / entracte / 1h / entracte / 1h15

Visuels : © Jean-Louis Fernandez