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24.09.2024 → 24.09.2024

Un « Così fan tutte » joyeux et débridé au Théâtre des Champs Elysées

par Helene Adam
25.09.2024

Quel plaisir que cette brillante représentation de Così fan tutte, en version concert brillamment mise en espace, sous la battue énergique de Marc Minkowski et servie par une belle et jeune distribution !

Le premier volet d’une célèbre trilogie

Pour sa dernière saison, Michel Frank, qui préside depuis plus de dix ans aux destinées du théâtre de l’avenue Montaigne, a programmé la trilogie Mozart/Da Ponte, ces trois joyaux de la miraculeuse collaboration entre Mozart et son librettiste Lorenzo Da Ponte. Così Fan Tutte ouvrait le bal hier soir tandis que Les Noces de Figaro et Don Giovanni suivront dans les mois qui viennent.

Choisir Marc Minkowski et l’orchestre des musiciens du Louvre, sa formation sur instruments d’époque, s’imposait d’autant plus que le chef a été de ceux qui ont fait les grandes heures du théâtre, encore récemment d’ailleurs avec La Chauve-souris (die Fledermaus) de Johan Strauss que Cult avait vu avec plaisir l’an dernier, représentation qui s’inscrivait dans le cadre d’une tournée.

Mais last but not least, l’ouverture de la saison au Théâtre des Champs Élysées, se faisait aussi sous le signe d’une rénovation technique qui réjouira les spectateurs : la salle s’est dotée d’un nouveau « mur » acoustique de fond de scène qui améliore grandement le ressenti notamment au parterre, où une certaine sècheresse d’un son trop direct qui ne se déployait pas harmonieusement dans la salle, posait régulièrement problème notamment pour les grandes formations orchestrales et vocales.

Mise en espace, une bonne idée pour les versions-concerts

Nous l’avons souligné à plusieurs reprises (et encore récemment pour un Tristan et Isolde à Baden Baden), la mise en scène minimale, mais efficace de nombreuses versions-concerts, prouve à la fois que l’opéra est aussi du théâtre et que faire simple est parfois plus lisible et fluide que faire compliqué voire sophistiqué.

On n’imagine mal en effet, ce vaudeville astucieux et bien plus complexe que son titre ne l’indique, donné uniquement avec des chanteurs en rangs d’oignon, déclamant face à la salle devant leurs pupitres sans aucune interaction entre eux.

Pour les chanteurs eux-mêmes, avoir la possibilité de « jouer », facilite l’expressivité de leur chant, surtout quand ils ont -comme hier soir- l’aisance, l’agilité, la jeunesse, ces nombreuses qualités indispensables à une incarnation réussie de Così.

 

Car cette « École des amants » (le sous-titre de l’ouvrage indique « la scuola degli amanti ») est une formidable leçon de théâtre (chacune des situations s’y prêtant) soigneusement amenée par des récitatifs d’une grande richesse littéraire, des répliques cinglantes et insolentes qui ont gardé leur verve aujourd’hui, et des arias qui ne se contentent pas de valoriser le beau chant, mais caractérisent nettement chacun des personnages. Des ensembles à deux, quatre, six chanteurs (et quelques chœurs réduits) complètent une écriture musicale et scénique qui nécessite absolument de respecter cet « art complet » qu’est l’opéra.

Et de ce point de vue nos jeunes et talentueux artistes se sont surpassés. Rarement on aura autant percé les mystères de cette joyeuse cavalcade où deux (futurs) couples testent le principe de la « fidélité » à travers un jeu parfois cruel, souvent drôle, où les victimes ne sont pas forcément celles que l’on croit.

Le livret de Da Ponte porte sa part d’absurde puisqu’il est logique de se demander comment nos deux sœurs se laissent tromper par les manigances du « professeur » Don Alfonso et ne reconnaissent pas leurs fiancés sous leur déguisement « albanais », mais peu importe finalement puisque tout rentrera dans l’ordre à la fin et que cette « confusion » invraisemblable sert un propos radical.

Les jeunes gens découvriront que leurs « sages » fiancées sont bien plus autonomes, délurées, prêtes à mordre à pleines dents dans la vraie vie et à prendre des risques, en seront finalement assez mortifiés avant d’admettre la réalité. Si elle reste dans le « pardon » final – scories d’un dix-huitième siècle tenté par le libertinage, mais encore pudibond -, pour l’essentiel, l’œuvre est très moderne pour son temps et l’audace d’un Mozart tout à fait perceptible. Elle s’amplifiera avec Les Noces et la dénonciation claire et nette du « droit de cuissage » des nobles vis-à-vis de leurs domestiques.

Très belle interprétation musicale et scénique

Marc Minkowski dirige sa formation avec une fougue de bon aloi, les tempi sont vifs, les contrastes importants et le continuo brillant. Pourtant, lors de l’ouverture, on note quelques difficultés de l’ensemble des cordes pas toujours aussi soyeux et élégant que possible. On oubliera aussi les légers dérapages du cor lors de son air solo pour souligner que, dans l’ensemble, on a là un très bel orchestre particulièrement adéquat à l’œuvre, qui ne couvre jamais les chanteurs et déploie avec efficacité un véritable tapis orchestral de soutien aux arias et aux ensembles, particulièrement riches chez Mozart.

Outre les qualités de l’orchestre des Musiciens du Louvre, il faut souligner la réussite d’une distribution d’artistes assez peu connus pour plusieurs d’entre eux, mais qui devraient rapidement le devenir.

Un vrai travail d’équipe réjouissant

Honneur aux femmes, car c’est leur opéra, ne nous y trompons pas : Ana Maria Labin éblouit en Fiordiligi, malgré des débuts un peu laborieux, surtout face à l’opulence vocale de sa comparse Angela Brower en Dorabella. Mais si la voix reste relativement menue, la virtuosité est au rendez-vous et les airs se succèdent tous plus beaux les uns que les autres surtout à l’acte 2 où elle conclue sa performance par un « Per pietà, ben mio, perdona » éblouissant. Si nous découvrions la soprano, il n’en est pas de même pour la mezzo-soprano Angela Brower que nous avons entendue récemment dans Les Contes d’Hoffmann à Paris où sa belle voix se perdait un peu dans les immensités de l’opéra Bastille. Elle trouve un rôle et une place de choix dans l’acoustique rendue fort confortable du théâtre et nous offre une magnifique Dorabella, haute en couleurs et en expressivité, qui culmine elle aussi à l’acte 2 avec l’expression libre de son désir de femme dans un « È amore un ladroncello » sublime.

On saluera aussi la performance des deux « amants », le Ferrando du ténor James Ley et le Guglielmo du baryton Leon Košavić en soulignant d’abord le soin formidable qu’ils ont mis dans leur expressivité vocale et scénique, à caractériser les différences importantes entre leurs deux personnages : Ferrando est en effet un ténor qui s’enflamme facilement dans de grands élans romantiques très lyriques. Ainsi son premier air le célèbre « Un’aura amorosa » de l’acte 1 ressemble-t-il aux arias traditionnellement réservées au ténor pour valoriser sa belle voix, tandis que son « Tradito, schernito », sincèrement tragique de l’acte 2, montre la profondeur de sa désillusion. James Ley y est d’ailleurs beaucoup plus à l’aise déployant un timbre haut en couleur et débarrassé de toute difficulté, la voix plus chaude, et les raideurs et le manque de legato du premier air ayant disparu. Mais d’une manière générale, le ténor campe très bien ce grand garçon un peu fanfaron, car tellement sûr de l’amour de sa belle et qui tombe de haut en surjouant le caractère tragique de ses désillusions.

 

A contrario, le baryton Leon Košavić épouse avec une facilité déconcertante, le relatif cynisme d’un Gugliemo, dont l’emploi de buffo caricato, est particulièrement bien rendu. Il domine son sujet, fier de lui comme il se doit, insupportable d’orgueil avant de devoir ravaler une fierté assez mal placée, dragueur impénitent et sans scrupule, et nous livre un chant où perce à chaque phrase musicale, la profondeur psychique du personnage et l’évolution de ses sentiments.

Son « Donne mie, la fate a tanti » a été à juste titre ovationné pour une très belle et très efficace interprétation.

 

La troisième femme, l’espiègle Despina est incarnée par la malicieuse soprano italienne, Miriam Albano, qui a remporté un succès mérité pour sa présence scénique époustouflante de vérité, incarnant les multiples déguisements de la subtile femme de chambre avec un talent de comédienne impressionnant. La voix est un peu menue, mais suffisante pour la salle et en osmose avec ses partenaires.

 

Alexandre Duhamel, presque un vétéran dans la maison, est le chanteur le plus sonore du plateau et son Don Alfonso s’impose dès son arrivée par la force de son incarnation et la justesse de son chant. Il mène le bal sur la scène avec beaucoup d’efficacité et de drôlerie, sans jamais en faire de trop, mais en sachant habilement appuyer ses effets par quelques gestes et mimiques appropriés qui rendent la représentation vivante et même passionnante.

Et Così ne serait pas Così sans ses fameux quintettes lyriques qui font partie des exercices obligatoires de tout artiste lyrique de haut niveau. Et on le comprend… Mozart et Da Ponte ont écrit des ensembles où chacun chante sa partie, mais en même temps… mais sans noyer ses sentiments et expressions contrastés dans le « tutti ».

Belle réussite hier soir pour les « Sento, oddio, che questo piede » de l’acte 1, et l’ensemble qui termine la première partie « Di… scri- ver- mi… ogni… gior- no » qui oscille merveilleusement entre le pathos et la farce. Et le trio final « Hab’mir’s gelobt », termine avec classe ce chef-d’œuvre décidément indémodable de Mozart.

On attend avec impatience et gourmandise la suite de la trilogie…

 

À propos du nouveau décor de scène

Extrait du communiqué de presse : Le projet d’un nouveau décor d’orchestre pour le Théâtre des Champs-Élysées est né début 2023, sous l’impulsion de Michel Franck, son Directeur général. Sa réalisation a été confiée à Félix Lefebvre, scénographe (Kanju), associé à Federico Cruz-Barney, acousticien (Studio DAP) et Philippe Maffre, architecte du patrimoine (Maffre Architectural Workshop), en lien avec la direction technique du Théâtre. (…) Savant dosage entre la technique, l’acoustique et l’esthétique, cet ensemble, constitué de 10 réflecteurs identiques (de 900 kg chacun) et d’éléments pour le plafond en bois de bouleau, a donc pour vocation d’améliorer l’acoustique pour les orchestres et plus particulièrement la communication entre pupitres lorsque les musiciens répètent et se produisent sur scène. Ces décors acoustiques jouent sur les timbres, les couleurs, la projection du son vers le public et le contrôle des niveaux sonores, favorisant une meilleure cohérence de jeu entre musiciens et chanteurs.

Théâtre des Champs-Élysées

Così fan tutte (ossia La scuola degli amanti)

Wolfgang Amadeus Mozart – Dramma giocoso en deux actes K. 588 (1790) Livret de Lorenzo Da Ponte

Mark Minkowski | direction / Ana Maria Labin | Fiordiligi Angela Brower | Dorabella James Ley | Ferrando | Leon Košavić | Guglielmo Miriam Albano | Despina |Alexandre Duhamel | Don Alfonso ; Chœur et Orchestre Les Musiciens du Louvre

 

Visuels : © Cyprien Tollet / Théâtre des Champs-Élysées