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« Signal To Noise », Forced Entertainment, emprise et défonçage de portes ouvertes…

par Theo Guigui-Servouze
16.12.2024
© Hugo Glendinning

Entre le 27 et le 30 novembre dernier, Forced Entertainment, compagnie de théâtre britannique expérimental aussi renommée que décalée, donnait quatre représentations de sa nouvelle création : « Signal to Noise ». La compagnie qui fête, et c’est à souligner, ses quarante ans d’existence, s’est produite au Centre Pompidou dans le cadre du Festival d’Automne.

 

« Tout a été dit et fait, et aucune littérature (ou ici, théâtre), ne peut dépasser le cynisme de la réalité. On ne soûle pas avec un verre celui qui a déjà bu une barrique. »

 

 

 

Cette citation de Tchekhov, extraite de sa correspondance avec son ami écrivain A. S. Souvorine, traduit en peu de mots, soutenue par une métaphore simpliste, l’absurdité de la vie réelle, qui se suffit à elle-même quant à la cruauté, l’injustifiable non-sens de son simple fait. Beckett, Albee, Ionesco ou encore Camus, dans leurs œuvres théâtrales ou romanesques, avec un style qui leur était propre, se sont attaqués, abîmés… Ont exulté dans leurs pages et sur les scènes, des narrations branlantes. Des non-narrations même, cherchant les limites de procédés qui, dans l’art, comme dans la vie, structurent les communications, dans ce qu’elles ont de meilleures, de pires… Jusqu’à leurs limites, ils ont tordu le banal, ils ont épuisé le réel, la petitesse de nos existences et la mesquinerie jamais trop éloignée de ce qui apparaît parfois comme « un moment spécial ou révélateur » dans l’existence. Ils n’étaient pas cruels. Ils se sont saisis de l’absurde, et force est de constater, que bien qu’étant devenus des figures classiques du genre, exemptes des technologies qui pullulent dans nos quotidiens, quand on s’y replonge, sommes-nous si dépaysés que ça ?

« One two three… Is the microphone on ? »

 

 

Sur « scène », ce pourrait être dans un parking, ou n’importe où à vrai dire – c’est « ça » « l’hypercontemporain  – j’imagine. Un décompte et une question – point de départ d’un lip-sync parfaitement synchrone, il faut le dire, entre les six comédiens et les voix générées par intelligence artificielle, ouvre ce qui s’avère être un holdup de ce qu’il restait d’espoir en la performance qui s’attaque à son nouveau doudou, « l’intelligence artificielle ». « Signal To Noise » – Un holdup… c’est un peu fort, je n’avais pas d’attente précise, l’identité forte de la compagnie et les mises en scène de Tim Etchells, se jouent des codes classiques et contemporains depuis quarante ans, c’est un bel anniversaire. Dommage que la fête ait été aussi foireuse. Les six comédiens entament un marathon non linéaire de mise en place de tables en Formica, de fauteuils, de chaises, d’un escabeau, de plantes en plastique. Et, leur « dé-mise » en place, ça prend une table basse, ils la posent là, puis une comédienne se roule par terre, tente de se rouler par terre. Les palmiers en plastique sont déplacés aussi souvent que dans les écoles d’art… Dans les cours d’art plastique, niveau 5ᵉ même, un prof présente à ses élèves le tableau « Ceci n’est pas une pipe » (1929), de Magritte, dans l’espoir (pas toujours vain), d’enclencher une réflexion autre que celle qui leur a pris la tête trois heures durant avant avec le théorème de Pythagore.

 

 

 

© Hugo Glendinning

L’espoir fait vivre

 

 

Les performeurs se changent, tailleur daté, perruques cheap, robes de soirée… Tout un dressing désenchanté sur portant délimite l’espace dans lequel, tour à tour, ou tous en même temps, les comédiens se soumettent aux phrases qui leur sont dictées. Plus encore, ici, l’obscure puissance qui les contrôle est comme implantée en eux. La mécanique plus ou moins huilée du début, avec son décompte métrique typique de la technologie, se dégrade et la frontière entre la faillibilité, la propension à l’erreur typiquement humaine, elle, semble de plus en plus ténue. C’est toujours la machine qui contrôle, mais elle se dérègle. Les gesticulations, les circuits intégrés que décrivent les comédiens, sont de plus en plus désordonnés. En hauteur, traduites en français, les phrases, bouts de phrases, sont retranscrites sur un écran : « Erreur de traitement en cours d’exécution. Vider le cache ». Qui n’a jamais vu un message similaire pop-up en plein milieu de son écran ?
La performance est physique, c’est certain, les transhumances illusoires des six, qui font et défont ce qu’ils croient faire, mais ne font pas vraiment, ne cessent pas deux heures durant.

 

 

Oui, on salue l’endurance dont la troupe fait preuve dans ce déménagement régressif et avilissant qui lui est imposé. « J’ai l’impression de juste regarder le temps passer », lip-sync un des performeurs. Il en va de même pour moi. Je ne suis pas le seul, la salle bondée ne se vide pas, mais j’observe un certain nombre de défections quant à cette lutte contre l’impatience qui nous est donnée à voir. À subir. On peut comprendre ce qu’Etchells et Huggins, le dramaturge de cette proposition, ont tenté de faire. Une réflexion sur cette nouvelle technologie qui a fait irruption dans nos vies qu’est l’IA, et les craintes légitimes qui les accompagnent, qui, depuis quelques années déjà, sont explorées et objets de questionnements tant dans la science, les humanités que l’art.

« Nan mais y’a plus de saisons ! » – (mon papi)

 

 

On attend, on attend encore… Mais rien. Oui, le dispositif narratif est acculé, c’était déjà le cas dans la pièce de 2017, « Real Magic », où, dans le cadre d’un dispositif minimaliste, les comédiens tentent, exactement comme dans « Signal To Noise », d’effectuer de simples tâches et se heurtent à l’échec, il en va de même dans la tentative d’interactions les uns entre les autres. En 2000, « And on the Thousandth Night… », qui a rencontré la faveur critique et publique, les performeurs, dans une réinterprétation du mythe de Shéhérazade, discours fragmentaires, fragmentés et improvisation (au sein d’une scénographie dépouillée toujours), tentent de construire une histoire, tentent de communiquer. Cette quête de repousser les limites du langage et de prendre son public en attente/de titiller sa patience n’est pas nouvelle chez Tim Etchells et sa joyeuse compagnie. On comprend « l’intention de sa proposition », si l’on y met ce qui nous reste d’énergie, mais après coup.

 

 

Ses contemporains britanniques tels que Vicky Featherstone et Sam Pritchard avec « All of it », Tim Crouch et des propositions comme « An Oak Tree » et « Truth’s a Dog Must to Kennel », tous expérimentent les limites de la représentation théâtrale, qui, par le fait d’un Shakespeare, ont longtemps consacré les planches comme étant LE lieu des mots et de la dramaturgie. Il est naturel de remettre ça en cause, c’est l’essence de la démarche artistique contemporaine expérimentale. On compte d’autres figures comme Harold Pinter (1930 – 2008), et deux pièces majeures du répertoire de l’absurde classique : « La Chambre » (1957), et « D’Une petite douleur » (1959), héritiers directs de Beckett et des angoisses existentielles qui conduisent à une angoisse vorace, au délire – libre à chacun, chacune de se figurer la limite entre ces deux notions. Thomas Ostermeier, figure de proue, s’est souvent joué lui aussi dans des mises en scène riches et ultra-contemporaines des méandres « tchécoviens ».

Prolonger… ou contrer ?

 

 

Prolonger la réflexion sur le malaise humain, son inadéquation ou sa « folie » – d’inventer ce qui pourrait le renverser définitivement, « lui », qui ne tient déjà qu’à un fil, se faufilant bon gré mal gré dans une société sans merci, un monde et une existence, sa raison d’être… Forced Entertainment avec « Signal To Noise », continue certes cette exploration sans fin, s’emparant de cet objet devenu despote, ayant fait de son créateur son obligé bouffon : l’intelligence artificielle. D’accord. Mais, avec plus de dix ans de retard et deux heures durant. Cette proposition marathonienne pour les comédiens l’est aussi pour les nerfs d’une partie du public. Annie Dorsen, metteuse en scène américaine, dès 2010, explore les questions de la prise de pouvoir de l’IA sur l’homme, et les dérives, la dislocation, la mainmise sur le langage dans des créations contemporaines telles que : « Hello Hi There » (2010), ou encore « A Piece of Work » (2013). « Signal To Noise », a-t-il capitalisé sur la réputation de la très résistante compagnie Forced Entertainment ?

 

 

Au-delà de la séquestration ressentie, ce qui « joue » (de moi ?), nous a semblé dépassé dans l’origine même de son utilisation du sujet complexe qu’est l’IA, mais en le réduisant à un simple « grand manitou » qui se joue d’une humanité rendue ineffable, il respecte effectivement les origines de son travail poussé sur les limites des procédés narratifs. Néanmoins, cette proposition s’empare d’un sujet déjà passé au crible depuis plus de vingt ans, et la déconstruction narrative et scénique est en soi « hyper-représentationnelle – stéroïdée », comme si le réel but de ce projet performatif n’était en sous-titre, issu de la simple obsession de « repousser pour repousser ». Qu’est-ce qui guide ce que je ressens comme un vague réflexe réactionnaire ? La preuve claire d’une peur quant au sujet de la pièce et la saisie dans un instinct de surpuissance, de reprise de pouvoir… capitalisant sur la renommée d’un nom connu. C’était daté.

 

 

Si le besoin de se rappeler l’absurdité du questionnement même de notre petite existence, sur ce caillou minuscule… « Le Mythe de Sisyphe » (1942), ou « L’Étranger » (1942), de ce bon vieux Camus, un dimanche, fin d’après-midi, à l’approche des fêtes de fin d’année… feront plus que l’affaire, vous aurez peut-être regagné les deux heures de vie qui nous ont été volées.

Signal to Noise de Forced Entertainment. Au centre Pompidou jusqu’au 30 novembre, dans le cadre du Festival d’automne à Paris. Du 4 au 7 décembre au Théâtre Garonne, à Toulouse et du 1er au 3 avril 2025 au Théâtre la Vignette, à Montpellier.

 

Visuels : © Hugo Glendinning – OUI pour « NEXT »