Révélée par sa victoire dans The Voice à seulement 16 ans, Nour fait partie de cette nouvelle génération d’artistes qui chantent avec le cœur. À l’Olympia, elle retrouvait Olivier Goy et la famille des Invincibles pour une soirée où la musique rime avec espoir. Rencontre avec une voix lumineuse, entre émotion et engagement.
Très contente, très enthousiaste… et un petit peu stressée, on ne va pas se mentir !
C’est une très belle découverte. Et c’est surtout beau de voir que ces artistes soutiennent une cause aussi importante et s’engagent pour aider la recherche.
La première fois, je ne connaissais pas vraiment la maladie de Charcot. J’ai eu envie d’en apprendre plus, parce qu’on n’en parle pas assez. Et puis, quand on comprend ce que c’est, on mesure à quel point il faut agir pour faire avancer la recherche.
Revenir cette année, c’était une évidence. C’est une cause qui me touche profondément, parce qu’elle est grave, mais encore trop méconnue.
Oui, vraiment. C’est difficile à expliquer… mais le voir, le rencontrer, ça m’a énormément touchée. Il dégage une force et une humanité qui bouleversent.
Oui, j’étais marraine du Téléthon avant de rejoindre cette aventure. Et j’ai aussi vécu la maladie de près dans ma famille. Tout cela m’a rendue très attentive à ces sujets.
Partager la scène pour des causes comme celle-ci, c’est une évidence pour moi. C’est quelque chose que je ferai toujours, parce que la musique peut vraiment aider à faire passer des messages essentiels.
Beaucoup de bonheur, de plaisir et de réussite… et de pouvoir continuer à chanter longtemps, surtout pour des causes qui comptent.
Propos recueillis par Mélodie Braka, à l’occasion du concert “Invincibles Ensemble”, à l’Olympia.
Crédit photo :© Jeremie Monnier