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François Berléand de La Ribot à Sophie Marceau

par Marie Anezin
25.02.2025

Rencontre avec François Berléand, comédien surprenant, aussi à l’aise, actuellement, en tournée théâtrale avec Sophie Marceau dans La Note qu’au cinéma avec une des performeuses phares du dernier Festival d’Avignon : La Ribot.

De lui, on retient ses comédies, ses éclats télé, son profil ronchon bon copain ou celui de plus en plus fréquent d’un psy au physique freudien. Or, François Berléand, bien qu’il fête cette année ses 50 ans de carrière, cherche encore son chemin entre recherche et reconnaissance.

Il a suivi les cours de Tania Balachova avec Josiane Balasko et la bande du Splendide, puis a changé de route en suivant Daniel Benoin et en privilégiant ce qu’il pensait être à l’époque un confort : le théâtre subventionné. Certains réalisateurs tels que Nicole Garcia (L’adversaire), Pierre Jolivet (Ma petite entreprise, qui lui valut le César du meilleur second rôle), Guillaume Canet (Mon idole) et récemment la réalisatrice suisse Delphine Lehericey, ont su capter chez lui la beauté d’une fragilité, un abandon qui dévoile l’âme et ourle ses yeux de sensibilité. Dans La note d’Audrey Schebat avec Sophie Marceau, pièce avec laquelle il est actuellement en tournée, c’est ce regard-là qui nous bouleverse, donnant à son personnage la puissance d’un Bacri, la désespérance poétique d’un Villeret.

La scène, le métier de comédien est sa vie, sa passion, sa maison. Il y est non-stop, allant jusqu’à enchaîner deux spectacles d’affilée dans la même soirée, à 19h et 20 h 30. Il réitérera l’exploit en 2026, mais cette fois-ci dans deux théâtres différents, ce qui selon lui sera quand même sportif. Il n’y voit même pas un challenge, ce qui l’intéresse, c’est le jeu, la scène, les rôles à découvrir.

Pour cette interview d’avant spectacle, François Berléand nous propose d’échanger sur le canapé du psychanalyste qu’il incarne dans La note. Sur le plateau du Théâtre du Jeu de Paume, déjà en costume à 18h, il s’épanche joyeusement sur ce divan où s’assoient tous les soirs les conversations existentielles du couple qu’il forme avec Sophie Marceau. Un couple au bord de la rupture et un homme qui n’arrive plus à rien, pas même à se pendre, ni à écrire une note d’adieu pour les siens.

Voici le texte avec les questions en niveau 3, comme dans un format WordPress :

Il y a dans La note une forme de jeu, éloignée de votre personnage rodé, facétieux, grincheux… Il a une fragilité magnifique, un jeu au-delà du jeu, qui vous place tout de suite au plus près du public.

François Berléand : Oui et encore plus dans cette salle du Théâtre du Jeu de Paume qui est extraordinaire, d’abord parce que le public est très proche. Et car nous n’avons pas besoin de porter très loin notre voix, ce qui crée une complicité avec les spectateurs. Complicité qui se rajoute à celle qui existe avec Sophie (Marceau) et qui est insensée. Et puis, il y a le propos de la pièce, aussi, qui fait que c’est à la fois grave et léger. Mon personnage est un peu cynique et désabusé. Il aime cette femme et en même temps, il est dans ses contradictions, il est incapable de lui expliquer le pourquoi du comment et encore moins cette absence de note d’adieu.

Ce que j’ai aimé dans ce rôle, c’est effectivement cette fragilité et ses failles.

Comment vous êtes-vous accordé avec Sophie Marceau ? Vous parliez de complicité rare.

C’est un vrai bonheur de jouer avec elle. Elle est très, très constante et lorsqu’elle change quelque chose, cela est très, très peu. Mais l’avantage est qu’elle change tout le temps, ce qui fait que nous ne nous ennuyons jamais. Au contraire, nous nous amusons comme des fous. C’est une bosseuse inouïe. En répétition, elle était incroyable. Elle est toujours dans la situation et d’une justesse incroyable. Lorsqu’il y a telle complicité entre les comédiens, tout est déjà plus simple. Ce n’est pas toujours le cas.

Dans Last Dance ! de Delphine Lehericey, qui a reçu le prix du public au Festival de Locarno en 2022, votre personnage présente les mêmes fragilités que dans La note.

Il se trouve que ce rôle m’a bouleversé à bien des niveaux. D’abord le sujet : ce retraité casanier qui, à la mort de sa femme, décide de continuer ce qu’elle avait commencé, une promesse faite. Il intègre donc un groupe d’amateurs qui font un spectacle avec une compagnie de danse professionnelle, celle de La Ribot. Il fallait, en effet, travailler sur cette fragilité d’être dans cette posture d’entre-deux.

Et puis j’ai vraiment adoré le travail avec Delphine. C’est une réalisatrice tellement à l’écoute, bienveillante, elle arrive à faire sortir des choses incroyables…

 

Connaissiez-vous La Ribot et son travail avant de tourner Last Dance ! ?

Et bien non. C’était assez rigolo, parce que lorsque Delphine m’a fait lire ce scénario, j’en suis ressorti bouleversé. Nous ne nous connaissions pas nous allons déjeuner ensemble à Bruxelles. Delphine me dit : « vous ne devez pas comprendre pourquoi je vous ai choisi… Parce que c’est ma première comédie ». Et là, j’ai pensé… « Ah, d’accord. J’ai dû mal lire. Si c’est une comédie, il y a des choses qui m’ont échappé ». C’était tellement drôle, parce que j’avais vu ses deux premiers films qui étaient plutôt tristes. J’ai répondu « Oui on va dire que c’est une comédie dramatique. Je vois très bien où on peut rire. »

Ensuite, Delphine me montre sur son ordinateur le travail de La Ribot. Et notamment, un truc d’une heure et demie avec son complice Juan, habillé en rouge et qui faisait « Ah, hi, Ah… » assis sur une chaise, filmé de face… avec une musique épouvantable. Je me suis dit : « Ah oui d’accord je vais devoir faire pareil. » Ça ne m’effrayait pas, mais cela me rappelait certains spectacles des années 70.

Est-ce que vous avez abordé ce genre de théâtre dans les années 70 ?

Oui, bien sûr. J’ai été chez Balachova. Nos profs nous faisaient faire des cris bizarres par terre. (Il mime) Des trucs comme ça. C’était les années 70-74. J’ai fait du théâtre subventionné pendant 20 ans, donc évidemment, j’en ai fait des trucs où les spectateurs applaudissaient à tout rompre parce qu’enfin c’était fini. Et que finalement, ce n’était pas si long que ça. (Rire). Ils avaient passé un moment privilégié. J’’ai d’ailleurs joué des spectacles extraordinaires, la question ne se pose pas. Mais je ne suis pas dupe par rapport à une certaine création de l’époque. Enfin, peu importe. Et là, je me disais, ah oui on retombe là-dessus.

Comment s’est passé votre tournage avec La Ribot ?

J’ai adoré ce tournage, cela a été un bonheur total. Cette femme est tellement… tellement bien.

C’est marrant, parce que La Ribot avait normalement un texte, mais elle n’a jamais dit son texte. Rire. Delphine la rassurait : « Oui, oui, mais dis ce que tu veux. Ce n’est pas… » Et La Ribot me disait (il mime l’accent espagnol) : « François, je ne sais pas comment faire ». Et je répondais : « Maria, fais ce que tu veux. Dis les choses comme tu les sens. Tu n’es pas comédienne. Moi, je ne suis pas danseur. Nous sommes faits pour nous entendre. »

Cela a donné des situations cocasses. À un moment donné, elle parle à notre groupe de danseurs : « On est des loups. Tu regardes là, tu fais… » Elle part en live. Nous terminons. Coupez. « Maria, Je n’ai strictement rien compris à ce que tu as dit ». Et tout le monde renchérit, nous non plus. Et elle répond : « moi non plus ». Elle est géniale.

Avec cet effet miroir d’être le débutant dans la spécialité de l’autre comment vous êtes-vous accordés ?

Avant le tournage, j’avais dit à Delphine, que j’avais expérimenté la danse lorsque j’avais 20 ans. J’ai fait des spectacles où je faisais des trucs de danse un peu japonaise. (Rire) J’y allais, quoi ! J’aimais bien, sauf que là j’avais mon âge et que depuis le temps a passé et que je me suis cassé tout le côté droit à ski, je suis rempli d’arthroses. Je lui propose donc de faire un régime, un peu de sport. « Non, non, surtout pas. Je veux que tu aies du bide. Je veux que tu sois comme tu es… » « Ok Delphine mais je ne vais pas arriver à grand-chose. » Et elle s’insurge : « Le propos de La Ribot ce n’est pas ça. C’est l’idée que tout le monde peut danser. Et c’est cette mixité des gens et des genres qu’elle recherche en mettant en scène aussi des amateurs… »

Et c’est vrai, le truc formidable de La Ribot c’est sa démarche. Elle me disait : « François, trouve des gestes ». Moi, je trouvais un geste. Puis d’un coup, derrière un de ses danseurs fait le même geste. On a l’impression que c’est moi qui fais le geste. Il y avait des danseurs super élégants, leurs gestuelles étaient formidables, c’était vachement beau. Donc, tu refais ces gestes-là et en fin de compte on a l’impression que tu danses bien. Et c’est d’ailleurs ce que les gens me disaient. Ce qui est très marrant car je ne danse pas ou très peu. Cela développe une confiance en soi et quelque chose qui est incroyable.

Il y a un gros plan à la fin où l’on vous sent totalement épanoui dans votre pratique de la danse façon La Ribot

Ah oui. Nous avions tourné la danse toute la journée. 20, 30 prises avec à chaque fois des angles de caméra différents. Il fallait faire à chaque fois toute la chorégraphie. Donc, quand Delphine a fait ses gros plans sur moi, j’étais épuisé et en même temps content parce que nous arrivions à faire ce que nous avions décidé.

Est-ce que depuis ce tournage vous êtes allé voir des spectacles de La Ribot ?

Non, je suis au théâtre tout le temps. Quand le film est sorti, j’ai enchaîné sur La note. Après, j’ai fait deux autres spectacles Freud et la femme de chambre et Poiret Serrault – Extraits extras. Avant, j’étais en tournée. Je n’arrête pas.

Est-ce une espèce de boulimie ? Une peur du vide ?

Non, pas du tout : J’ai une passion pour mon travail. Une passion pour la répétition, pour le fait de jouer devant du public.

Le travail du comédien, pour moi, c’est toute mon existence. J’ai l’impression que si j’arrête, je meurs. Quand je suis en vacances, très vite, je m’emmerde. Sauf cette année où j’étais épuisé parce que je faisais un spectacle à 19h et un autre à 21h tous les jours. Je jouais six fois le week-end, trois fois le samedi, trois fois le dimanche. Et je tournais le lundi, le mardi, le mercredi. Je crois qu’en espace de neuf mois, j’ai dû avoir cinq jours de repos. L’année prochaine, je ferai la tournée de Freud et la Femme de Chambre. Et après, je vais enchaîner sur un 19h et un 21h avec des textes complètement différents.

Après 50 ans de carrière qu’est-ce qui vous bouleverse encore ?

Justement, une pièce qui me plaît beaucoup et dont je ne sais pas quand je vais pouvoir la jouer, celle-là. Une pièce chorale où on fait des allers-retours sur scène. Enfin, peut-être un petit peu après.

Peut-on dire que c’est votre spectacle culte de l’année ?

Ah oui, oui. Et d’ailleurs de ces dix dernières années. Et même de tous les spectacles que j’ai vus, il est dans le top 5. J’aimerais beaucoup travailler avec lui. J’ai dit à ses comédiens : « tu peux dire à Wajdi Mouawad que s’il me propose un rôle, je lui dis OUI tout de suite. »

Spectacle vu au Théâtre du jeu de Paume d’Aix en Provence

La Note Avec Sophie Marceau, François Berléand
Texte et mise en scène Audrey Schebat Assistante mise en scène Stéphanie Froeliger
Scénographie Jacques Gabel
Lumières Laurent Béal assisté de Didier Bru
Costumes Ariane Viallet
Musique Ayten Inan

 

Last Dance ! Un film de Delphine Lehericey
Fiction – 2022 – Suisse, Belgique – 83 min – Couleur – 1:85 – 5.1
Avec François Berléand, Kacey Mottet Klein, La Ribot, Déborah Lukumuena, Astrid Whettnall, Dominique Reymond

Visuel : image du film Last Dance !